Une nouvelle science du Supraréalisme dans l'avenir

 Un nouveau modèle scientifique 

pourra bouleverser nos connaissances de l’Univers.

Il est prouvé dans les manifestations universelles suivantes :

La Matière noire et l’énergie sombre

2. Le manque de l’antimatière

3. La double nature des particules

4. La cohérence et la décohérence quantiques

5. L’intrication quantique

6. Evite la singularité

7. Le rayonnement cosmologique

8. L’homogénéité de l’univers

9. Enfin, il relit la physique quantique et la Relativité

La vitesse des galaxies ne permet pas leur intégralité.

Une matière invisible est indispensable

Pour résoudre plusieurs anomalies.

A chaque collision, la matière est doublée par l’antimatière.

Les particules sont ondes et corpuscules à la fois.

Sur un fil très fin, les électrons sont en cohérence quantique.

L’intrication quantique (communication instantanée entre deux particules corrélées).

La réponse :

L’existence d’un mur quantique adimensionnel et son énergie tourbillonnante, pluri potentielle interdissent la communication directe 

entre le monde réel et la réalité subatomique.

Matière et énergie noires, deux entités que personne n'a jamais vues et dont on ne sait rien, 

mais qui comptent pour 95 % de la densité de l'énergie de l'Univers ! 

Si bien qu'elles sont devenues indispensables au modèle standard :

La vitesse trop élevée des étoiles, dans les galaxies et l'accélération de l'expansion, obligent les astronomes de postuler l'existence d'une matière invisible et à penser qu'une forme d'énergie inconnue remplit l'espace.

L’astronome grec Ptolémée l’avait devinée. Sans aucun moyen d’observation directe, il avait pressenti un fait : 

la Terre tournait sur elle-même et autour du Soleil. 

Aujourd’hui c’est indiscutable, nous savons que tous les astres tournent jusqu’aux électrons dans le micro univers. Quelle est cette énergie qui fait tourner l’univers ? Ce n’est probablement pas la gravitation toute seule, car elle est attractive et non pas tournoyante. 

Quelle est cette énergie qui maintient le mouvement permanent et la structure des galaxies et les amas, 

celle qui maintient la vitesse des confins des galaxies en les emprisonnant, 

afin de les empêcher de s’échapper, car l’énergie gravitationnelle diminue avec la distance. Quelle est l’énergie 

qui provoque l’expansion de l’univers ?

C’est l’énergie essentielle primordiale. Elle garde la structure de l’univers, telle que nous la connaissons.

Elle agit en synchronisation permanente avec la gravitation et les trois autres forces bien connues. 

Elle remplit l’univers du micro au macro en cercle fermé y compris le vide. Introuvable dans le vide du monde spatial, 

elle agit dans le monde quantique. 

En synergie avec la force gravitationnelle et tourbillonnante, elle maintient les galaxies intactes, en repoussant en même temps les corps célestes entre eux ce qui provoque l’expansion. 

En mouvements sphériques permanents, le vide cosmique n’est pas inactif. Les trous noirs sont une preuve de ses activités, car ils sont le lieu de la démonstration de force universelle. 

Elle nous a déjà montré son visage dans les collisions, où pour un temps insignifiant arrive quantité impressionnante de particules virtuelles, 

accompagnées par leurs doubles d’antimatière (la preuve qu’elles ne sont pas le résultat de la force cinétique). 

Chaque particule de matière est doublée par une particule d’antimatière. Pourtant, l’antimatière est introuvable.

Une barrière quantique sépare et unit dans un équilibre baryonique la matière et l’antimatière. 

C’est le mur de la lumière, le mur quantique. 

Toutes les particules, à partir du micro univers, jusqu’aux confins de l’espace sont placées sur ce fil intemporel en une dimension qui tisse la frontière entre le monde réel et la réalité quantique. C’est pourquoi, les particules en cohérence quantique réagissent à chaque contact avec tout objet du monde spatio-temporel, 

car il les dérange et introduit la décohérence quantique.

Par conséquent, toutes les particules dans l’univers se trouvent partout en même temps, 

car le temps, sur ce Mur, n’existe pas. Il n’y a pas non plus d’espace. 

Ainsi deux particules corrélées peuvent échanger des messages instantanés (plus vite que la vitesse de la lumière) peu importe la distance qui les sépare dans notre monde spatial et temporel. 

Mais lorsqu’on introduit un contact matériel (un instrument) le lien est interrompu. 

Elles se trouvent partout à la fois dans tous les états et on les trouve où on les cherche 

dans un seul état figé par le contact. 

Le Mur spatial quantique est bien connu. Il se trouve aux confins de l’univers à 380000 années-lumière après le big-bang. Il marque la limite de l’observable placé de toutes parts de notre point d’observation, 

comme si la Terre se trouvait au milieu de l’univers. 

En réalité il marque notre horizon, car l’univers est sphérique. 

Si nous nous trouvions ailleurs, notre horizon se déplacerait avec nous et, 

comme sur une barque dans un océan, nous serons toujours au milieu de l’univers. 

Homogène et égal à lui-même dans toutes les directions, 

le rayonnement cosmologique représente l’écho du Mur de la lumière. Parsemé de ses grumeaux, l’univers est homogène et isotrope dans toutes les directions. 

Entouré de son horizon naturel, il n’a plus besoin de la singularité pour exister.